Pour sa 36e édition, jusqu’au 9 août, le festival persiste et signe dans la diversité des musiques et des ensembles présentés, alternant musique baroque, classique, romantique, du 20e siècle, chant, concert-lecture et tango argentin, dans des éléments patrimoniaux à redécouvrir pour l’occasion.
Après le concert-apéritif du Quatuor Caliente (bandonéon, violon, contrebasse, piano), Tango Nuevo à déguster sans modération ce mercredi 31 juillet à 18h au Bugue sur les rives de la Vézère, le prochain rendez-vous à ne pas manquer attise Le Grand Feu, embarquement vers une Venise au féminin en compagnie d’Ophélie Gaillard (et l’ensemble Pulcinella), Léonore de Récondo (romancière, violoniste) et la comédienne Julie Depardieu pour une lecture concert lumineuse devant le château de Campagne. Un voyage sur les traces d’Ilaria, jeune violoniste prodige pensionnaire à la Pietà, qui deviendra l’élève puis l’assistante de Vivaldi. Pulcinella donne la part belle aux compositrices et musiciennes (œuvres de Barbara Strozzi, Maddalena Lombardini).
Année anniversaire Gabriel Fauré
En clôture du festival, vendredi 9 août en la cathédrale de Sarlat (21h), l’ensemble Contraste donnera un programme Gabriel Fauré dans le cadre du 100e anniversaire de sa disparition. Au programme : Requiem, opus 48 (arrangement d’après les versions de 1888 et de 1893), Cantique de Jean Racine, opus 11 (version de 1866), Pavane opus 50 (arrangement d’après la version de 1887), sous la direction artistique d’Arnaud Thorette et la direction musicale de Johan Farjot.
• Le festival, c’est aussi quatre concerts Au fil des saisons, de septembre à novembre : samedi 7 septembre, chapelle Saint-Martin, Limeuil (Trio Mylos : Dvorjak, Ravel) ; dimanche 29 septembre, PIP les Eyzies (Amour(s) désacordé(es) : Bizet, Fauré, Lizst) ; dimanche 13 octobre, Espace André Malraux, Cendrieux (Un Tour du monde en 80 minutes : Verdi, Tchaïkovski, Bernstein, de Falla ; dimanche 10 novembre, église du Bugue (Quatuor Galilée : Fauré, Haydn)