Léonard de Vinci fait son festival
Entourés de professionnels et de leurs enseignants, les élèves de l’établissement sont associés à l’organisation en fonction de leurs formations : les trois classes de baccalauréat professionnel Hygiène Propreté Stérilisation entretiennent les espaces ; une classe de C.A.P. Préparation et Service en Restauration collective nourrit les équipes techniques et artistiques, soit près de 150 repas dans la semaine ; six élèves “techniciens en herbe” installent lumière-son et assurent les régies ; une classe de 2nde CAP Électrotechnique participe au montage de la salle.
Toutes ces graines d’organisateurs, ainsi que nombre de leurs camarades et quelques classes invitées des établissements voisins, assistent aux spectacles dans le cadre de représentations en matinée. (source)
Programme tout public
(chaque spectacles est donné en scolaire le lendemain de sa représentation)
• Ce mardi 18 (19h, La Filature de l’Isle) : La solitude du coureur de fond, d’Alan Silitoe. Adaptation et jeu : Patrick Mons, Cie La lune et l’océan. Déjà accueilli il y a deux ans, le spectacle est un classique de la littérature britannique. Cette nouvelle de 1959 narre de manière très subtile, directe et caustique, l’éventualité de la réhabilitation sociale d’un jeune délinquant par la course.
• Mercredi 19 (19h, Atelier théâtre du lycée) : Le sport, un pharmakon – poison ou remède selon l’usage que l’on en fait. Volet 3, travail en cours
19h45 : Diego, d’Alexandre Cordier. Mise en scène de Barthélémy Fortier, Cie Ce soir-là c’était la neige. Diego doit son prénom à la passion de son père pour Maradona. Cela
suffira-t-il à lui tracer un destin de grand sportif ? Il n’est pas toujours aisé
d’échapper aux déterminismes.
• Jeudi 20 (19h) : Carte blanche à la Compagnie Ce soir-là c’était la neige. Lecture par Hugo Randrianatoavina ; mise en espace de Barthélémy Fortier. Accueillie la veille avec son spectacle Diego, la Compagnie devrait offrir la lecture de quelques pépites sportives.
20h15 : Courir, de Jean Echenoz lu par Patrick Mons, Cie La lune et l’océan
Émile (Zatopek) s’initie à la course, et s’entraîne tellement que cela devient une obsession de performance. Il veut être l’homme qui court le plus vite sur Terre. Et pour se remettre de cette course de fond : petite restauration proposée par le food-truck Myumimyumi.
